La chimiothérapie et la nausée n’est pas synonyme

Guide de couverture sur l’image antiémétique   MADRID. – Après l’alopécie, les nausées et les vomissements causés par la «chimio» occupent le podium des principales préoccupations des patients atteints de cancer qui subissent ce traitement. Un guide facile et disponible dans la plupart des associations de patients, vise à rendre la vie plus facile pour ceux qui doivent passer par là.Restos plusieurs fois par jour au lieu de trois gros repas, éviter les sucreries et les graisses, les odeurs fortes, faire des exercices légers. . . sont quelques-unes des voies de recours que les lecteurs trouveront dans «Feel Good! Nausées et vomissements sous contrôle », publié par la Société Espagnole d’Oncologie Médicale (SEOM), le groupe espagnol de recherche sur le cancer (GEICAM), la Fédération des femmes avec cancer du sein (GEICAM), le groupe de recherche et SOLTI collaboration laboratoire MSD.Leurs auteurs, les Drs Ana Lluch (à travers le service d’oncologie de l’Hôpital clinique de Valence), Laura García Estévez (Comprehensive Cancer Center Clara Campal, à Madrid) et Montserrat Muñoz (de la clinique de Barcelone), a rappelé dans la présentation ce livre, les jours où les patients ont eu des nausées alors même qu’ils étaient désespérément accroché au goutte à goutte de la chimiothérapie.L’apparition d’un arsenal varié de antiémétiques (anti-vomissements) a banni les services d’oncologie de ces scènes, et permet maintenant de même d’anticiper l’émergence du problème. Comme l’a expliqué le Dr Ricardo Cubedo, conseiller Elmundo. est et oncologue à l’Hôpital Puerta de Hierro de Majadahonda, “mais pas tous la chimiothérapie produire le même degré de la nausée, nous avons de bons médicaments pour éviter ce cercle vicieux.”Prévenir les nausées d’anticipationParce que, comme expliqué par M. Lluch, un patient souffrant de nausées dans le premier cycle de «chimio» visages bien pire dans le reste du traitement parce que l’hôpital est influencée par leur mauvaise expérience (et souffre encore des nausées d’anticipation.) Par conséquent, at-il ajouté, “est près de même dans la faute professionnelle médicale permettre à un patient de passer leur chimiothérapie avec des vomissements, si nous pouvons vous aider.” Beaucoup de ses collègues, a été critiqué, optez pour “attendre et voir si elle vomit et si cela et lui donner un traitement, mais a assuré que c’est une idée fausse, à la fin de la relation« chimio-nausées.Parfois, dit Garcia Estevez, n’est qu’une question de temps, l’oncologue à reposer quelques minutes pour raconter son patient et à «éliminer la peur de l’inconnu.” Elle a également traitées dans cette section du manuel sur les autres thérapies complémentaires telles que la musicothérapie, l’acupuncture ou le cannabis, qui a demandé à deux patients de la consultation. Bien que la réalité est qu’il n’y a pas suffisamment de preuves scientifiques en sa faveur (et en Espagne en Catalogne n’est autorisée que par la voie de l’usage compassionnel), les trois oncologues ont montré une certaine sympathie, “s’il n’est pas dépensé beaucoup d’argent et si elles se sentent ils travaillent. “Bien que le guide (conviviale, “à lire dans la salle d’attente”) est rédigé par trois experts sur le cancer du sein, leur avis devrait être étendue à toute autre tumeur, ont été clarifiées. En outre, comme l’a noté M. Lluch, malgré les progrès de nouveaux traitements pour le cancer (avec moins d’effets secondaires), “nous avons encore à soutenir la chimio» dans presque tous les cas. “Filtres Cinq vedette article: l’art de chercher du Premier ministre – L’édition 2010 du Royaume-Uni élection générale.

via  Santé